Face aux politiques antisociales, la mobilisation continue.
Le 29 avril dernier, j'étais à Verviers aux côtés des travailleuses et travailleurs mobilisé·es contre les mesures antisociales envisagées par la coalition De Wever–Bouchez. Ce qui est aujourd'hui sur la table ne va pas dans le sens du progrès social. Bien au contraire : alors qu'on nous promettait des avancées en matière de pouvoir d'achat et de reconnaissance des carrières, les propositions actuelles ne font que fragiliser davantage celles et ceux qui, chaque jour, font tourner notre société.
Je refuse ce mépris pour le monde du travail.
Depuis près d'un an, les politiques menées par le MR et Les Engagés affaiblissent des pans entiers de notre modèle social : services publics sous pression, attaques contre les droits des travailleuses et travailleurs, recul des protections pour les plus vulnérables. Et malgré les discours rassurants, les avancées concrètes se font toujours attendre.
Mais partout, la résistance s'organise. Dans l'enseignement, dans la santé, dans le secteur associatif… la mobilisation s'exprime avec force, dignité et détermination. Fier d'être présent sur le terrain, avec les citoyennes et citoyens, les syndicats, les acteurs de la société civile, et mes collègues socialistes, pour défendre un projet de société plus juste, plus solidaire, et respectueux de toutes et tous.
Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin de proximité, de cohérence et de vérité. Il est temps de repartir des réalités concrètes, de ce que vivent les gens au quotidien, et de reconstruire la confiance sur des bases solides : l'écoute, l'engagement et la justice sociale.
